Lima m’apparaît d’ailleurs beaucoup moins tiers-mondiste que Quito et moins polluée (même si nous ne sommes pas dans les standards Européens). C’est une métropole en plein développement (2% de croissance cette année malgré la crise et 5% prévus pour 2010) qui compte plus de 8 millions d’habitants. Une de ses caractéristiques, outre Pizarro son fondateur, est la fameuse ‘garúa’, i.e. sa brume continuelle, et même si le soleil a tenté une courte percée en début d’après-midi, je n’y ai évidemment pas échappé. Le centre historique est de toute beauté, avec sa plaza de Armas (somptueuse !),
sa plaza San Martin (quelques édifices qui m’ont étrangement fait penser à ma plaza de los Cibeles favorite… sans parler de la bandera Espaňola qui flottait au-dessus !),
ses multiples églises pour la plupart datant des XVI et XVIIe siècles,
et ses quartiers pittoresques (quartier des imprimeurs, quartier des objets religieux, quartier du change, etc)…
sans compter les patios innombrables et merveilleux que l’on découvre au détour d’une porte cochère (Pour maman : un patio + des azulejos, il fallait que je m’y fasse prendre en photo pour toi).
Les minibus de toutes couleurs sont légion avec les rabatteurs (et la conduite de fou) comme en Equateur (cela devrait rappeler à Nicolas un de ses vieux jouets).
Enfin, para hacer sonreir mis amigitos espaňoles : que sepais que aqui todos piensan que tengo el acento de Espaňa J !
Salud!
No comments:
Post a Comment